Dépendance sexuelle

Version complète : Besoin d'aide, histoire assez extrême...Mais sevrage -efficace?- prévu !
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 (PS : j'avais modifié le contenu légèrement afin d'alléger l'extrémité de ce topic, j'ai du donc supprimer certains détails)  Bonjour,   Tout d'abord, je tiens à préciser que je ne me présenterai pas. Merci de votre compréhension... Alors pour commencer, c'est vers l'age de 12 ans que j'ai découvert le porno, sur une chaine de télévision, ce qui me paraît étrange, c'est que je conserve toujours cette image parfaite du moment où j'ai découvert cela ; c'était vers 23h j'étais devant la télé et je devais allé me coucher, ma mère était dans le couloir et moi, par curiosité malsaine, je surfais sur une chaine de tv érotique, car ça m'intriguais beaucoup, je voyais cela comme un grand interdit tandis que ma mère était à quelques mètres dans la pièce d'à coté. Donc dès mes débuts j'ai développé ce réflexe d'être super attentif à la limite de la perversion, quant aux faits et gestes des autres, tout en explorant mon désir d'en apprendre d'avantages. A la suite, j'ai commencé à me masturber tout seul, sans support particulier, sauf que je n'allais pas au bout, rien ne sortait mais je prenais quand même un plaisir, en fait je ne faisais que "mouiller" et dès lors, je pensais que c'était bon. Donc je n'allais jamais plus loin !  Durant cette période ou je n'accomplissais pas à 100% mes masturbations, j'ai développé de sérieuses activités malsaines, cette période a durée plusieurs avant que je ne découvre que je pouvais carrément éjaculer "de plaisir"... Mais je vais tout d'abord vous racontez cette période, la plus noire de ma vie, alors que j'étais quelqu'un rayonnant de bonheur et de joie de vivre d'une manière générale : Avec un très bon ami nous avions développer des pratiques à nous masturber avec le support de notre pc, mais il y a même eu des fois ou l'on se masturber en webcam face à d'autres jeunes filles de notre age qui elles aussi prenaient du plaisir...... Moi j'ai commencé à développer divers fétichismes que je tairais sur ce forum  A cet époque j'avais encore 12 ans, peut etre 13. J'ai à la suite accompli ma masturbation, car j'ai découvert un jour pour la première fois que je pouvais éjaculer... puis s'en est suivi un passe temps incroyable et régulier puisque ma priorité était devenu cela, quitte à briser ma propre personalité qui était pourtant très prometteuse à l'époque... Vers les 20 ans, j'avais découvert tous les milieux de la pornographie, y comprit ceux de la pornographie malsaine, que j'ai découvert en dernier, le flashing, tout ce qui est exhibitionnisme et réel, c'est à dire non scénarisé. ce genre de vidéos traine sur tous les sites de streaming x.  vis-à-vis de cela, j'ai fini par moi aussi me prendre en vidéo dans des transports en commun, de moi en train de me masturber en prenant sur images mon activité et la personne qui subissait cette activité...  cela ma amené sur des chemins ou j'ai même souvent ressenti des pulsions de prédateurs,du type, quand j'étais en transport genre train, le soir, qu'il n'y avait quasi personne, quelques filles assises dans des wagons toutes seules, je vous laisse imaginer la suite mais une fois je suis allé jusqu'à m'assoir derrière une fille, me masturber, elle devait aussi avoir 18, 19 ans, puis au moment ou elle s'appretait à sortir du train, elle se lève, se retourne et découvrir moi en train de me masturber fortement en fixant son corps, elle a eu un sourire comme si elle n'en croyait pas... très surprises elle a même limite rougie puis est vite partie.  bref, tout cela pour vous raconter mon point de départ de cette addiction qui a presque complètement briser ma personnalité et mon esprit ainsi que ses dernières phases de cette addiction, 8, 9 ans après... Avec de l'exhibitionnisme-prédateurisme... En filmant les scènes et les publiant sur les sites spécialisés...... Entre ces deux phases, celle du début et la toute dernière, je me suis développer de manière intriguante puisque je ne parlais presque plus de manière spontannée avec mes amis, comme si petit à petit, je m'effaçais alors qu'à l'origine, j'étais d'une très forte personalité, curieux et hyper spontané... Aujourd'hui, je suis toujours dans cette dernière phase et j'aimerai vraiment arrêter, mais voici le problème : j'ai grandement l'impression que ceci est une drogue fatale, car lorsque mes pulsions me prennent, figurez vous que je ne pense pas la moindre seconde aux idées que je m'étais concernant mon addiction, idées que je m'étais donné afin de comprendre que c'était néfaste, dangereux et destructeur, mais lors des ces pulsions, rien de rien, je n'est même pas la plus petite envie de me remémorer des ces idées d'arrêter puisque mon idée principale devient le fait d'assouvir mon fantasme, dans le moment présent, dites vous bien que je suis religieux pratiquant et que j'étais pratiquant à 100% quand j'étais gosse et adolescent, puis je suis devenu pratiquant à 10% dans cette dernière phase de mon addiction, mais dites vous que lorsque ces pulsions me prennent, je n'arrive même pas à ressentir l'amour de ma religion dans mon coeur, j'ai qu'une seule envie c'est d'être à la recherche d'une cible tel un prédateur ! Voilà, j'aimerai que vous me posiez des questions, pour que je puisse développer encore plus et revenir ici le plus régulièrement possible... Afin d'amorcer une cure, dès à partir du moment ou je publie mon message... Merci beaucoup par avance
Bienvenue à toi, Pour commencer bravo pour ta prise de conscience, et ton courage de nous raconter tout ça.Je pense, que tu dois mettre une barrière à peine la pensée te survient dans l'esprit, car si tu commences, il est bien difficile de ne pas aller jusqu'au bout par la suite, c'est peut être la cause de tes maux, et que lorsque ça arrive, ta principale idée est d'assouvir ton fantasme comme tu nous explique. C'est à ce moment précis, qu'il faut savoir dire non, lorsque la pensée survient. Si tu es croyant, fait une prière à Dieu à ce moment précis, à chaque fois que la tentation se fait présente en ton esprit, occupe toi, fait autre chose.Sur le moment c'est frustrant de devoir renoncer, mais 10 Min après tu n'y penses plus, et tu es même comptant d'avoir dit non à "l'ennemi" Garde courage et Foi.
BienvenueEssaye dans un premier temps de te renseigner au maximum (dans tes moments de liberté) sur le processus d'addiction en général, celle au sexe en particulier, puis sur TON processus à toi. Ce que tu dis dans ton avant dernier paragraphe est le cas pour tous les dépendants sexuels. On a tous mis notre conscience au placard quelques heures. On peut s'en sortir bien sûr, et tu dois en être convaincu.

Bonne chance.

Merci à vous j'essaye de faire du mieux que je peux et j'espère que j'arriverai a tenir maintenant, au moins un peu plus déjà
ce n'est pas aux autres de te poser des questions, c'est a toi de te les poser, de t'informer, chercher les reponses, essayer des trucs etc etc etc..t'as déja un bon bagage sur le forum, fait le tour.. le forum n'est pas tout, il n'est qu'un point de depart.. il ne faut pas y rester accrocher, ce n'est que du virtuel.. prochaine etape, groupe d'entraide, psy, coach etc etc.. tu es drogué, maintenant, tu accepte et tu passe a l'acte, ou reste dans le deni et continu a patauger dedans pendant des mois et des mois, voir des années..t'as le choix.. bonne chance 
J'ai mis en place des astuces auxquelles je n'aurai jamais pensé auparavant. Je sais que je suis désormais imbibé de cette drogue mentale et parfaitement immatérielle. Mais imagine que cela soit lié avec une addiction physique type cannabis. Et bien c'est moi. J'ai décidé de me sevrer sur tous ces sujets en même temps, afin que le sevrage soit beaucoup plus ressenti et plus efficace que jamais.  J'ai mis en place d'ailleurs une petite astuce pour l'addiction sexuelle, en dessous de ma barre d'adresse, j'ai placé votre forum 5 fois de suites, afin que lorsque je veux me rendre sur des sites porno ou autre, je remarque inévitablement votre forum avec d'écrit en titre "dépendance sexuelle".  Je me passerai volontiers d'un psy, vis-à-vis de raisons persos et convictions. Surtout que j'ai réussi à pousser mon intelligence afin d'arriver à cerner le pourquoi du comment de tous mes agissements, volontaires ou non.   Mais je me prépare à faire de grands pas, sachez que depuis que j'ai commencé mon engrenage, il ne s'est pas passé plusieurs jours sans que je ne retombe dedans, sauf quand j'étais en vacance.  Mais dans l'environnement de ma chambre, c'est très dur, mais c'est là que je dois mener mon sevrage, entreprendre un nouveau départ, car c'est dans ce même environnement qu'il ne s'est jamais passé plus de quelques jours sans que je ne cède. Sachez aussi que j'ai calculé que pour avoir un maximum d'efficacité physique lors de ce sevrage, j'ai décidé de me mettre au sport quotidien, toujours dans ma chambre. L'efficacité psychologique je l'ai grâce à mon esprit qui a su reconnaitre précisément les raisons de tous mes maux. Mais aussi grâce à ce dernier qui a su générer des idées telles qu'afficher en plusieurs fois votre forum de manière visible et mise en valeur, sur mon navigateur.

 Lorsque je verrai quelques semaines passer, je changerai aussi la disposition de ma chambre, afin de me créer petit à petit un nouvel environnement, sans que je m'en rende compte. Même si je le dit désormais, je pense que cela aura de l'effet car je changerai l'environnement de manière progressive. Pour ce qui est du fardeau que je porte, hormis le partager ici de manière virtuelle, c'est trop peu. Et comme je ne considères pas la profession de psy comme un remède à tout maux,après avoir réorganiser ma chambre, donc après avoir enclenché une période de sevrage, je vais me rendre dans des lieux naturels, une ou deux fois par semaine, me plonger dans un casque avec du son relaxant, dans les beaux jours, donc avec un soleil plein visage, les yeux fermés. Un petit peu de cannabis pour me permettre d'entrer profondément dans mes pensées, puis je vais démarrer ma phase de "rappel", c'est à dire que je vais me visualiser tout petit, lorsque mes maux ont débutés, le pourquoi de ces maux, les conséquences de ceux-ci et les alternatives que j'aurai pu faire vis-à-vis de ceux-ci tout en prenant en compte l'évolution, donc le comment de ce que je serais devenu dans tel ou tel cas. Puis je vais me souvenir profondément de la volonté des mes parents, de ce qu'ils souhaitaient du fond du coeur pour moi, je vais observer à quel point je me suis éloigné de leur volonté, essayer d'entrer en phase pardon avec moi même en gros.   Puis lorsque l'ensemble de mes souvenirs seront posés et rappelés, je vais pouvoir me les pardonner et les transcrire afin d'en faire des confessions brèves mais très significatives, pour mettre en place l'ultime phase ; celle qui se déroulera là aussi sur des semaines, c'est à dire que je vais me rendre une fois par semaine à l'église afin de me confesser de tous ces maux, les confesser de manière progressive. Exemple, la première fois je confesserai tous les maux qui ont débutés à l'age de 12 ans. puis une autre fois, age de 13 ans etc etc et etc. 

Voilà, maintenant pouvez-vous me dire qu'est-ce qu'un psy pourrait m'apporter de plus ?

<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Roul m'a ôté les mots de la bouche, j'allais le dire : avoir une écoute extérieure et éclairée. Y a pas de  honte à voir un psy, je l'ai fait moi-même pendant au moins deux ou trois ans à une période difficile de ma vie. Le tout est de trouver une personne avec qui on se sente bien, en affinité...  (Quoi qu'on puisse penser en théorie du rôle « normalisateur » ou « standardisateur » de la « psychiatrie-chimique » pour nous aider à nous adapter à une société malade, ce qui ne serait pas au fond une bonne chose.) On peut voir un psy et lui dire : je veux pas de drogues pour m'abrutir ; faut communiquer avec les personnes, un psy n'est pas non plus un flic à la solde du système ; c'est un être humain qui a des problèmes aussi avec son boulot ; on est là aussi pour l'aider et l'écouter, s'il y a un échange véritable…

D'ailleurs si j'en avais eu les moyens j'aurais certainement préféré d'autres thérapies ou stages ou retraites spirituelles, etc. mais ce qui est pratique avec un psy conventionné est qu'on peut être remboursé de ces frais assez lourds, si on consulte une ou deux fois par semaine (en période critique). Sinon une fois tous les 15 jours, c'est bien…

Mais à part ça bravo pour ton analyse et tes plans très cartésiens. Tu sembles avoir une grande confiance dans ton « esprit », c'est une bonne chose, mais méfie-toi quand même de trop t'autocongratuler et d'en oublier d'aller regarder chez les autres s'il y a du bon… je te dis ça parce que j'aurais tendance à avoir le même défaut… il faut être conscient de sa valeur tout en restant humble ce qui est un équilibre parfois délicat à trouver… bon courage mon frère…

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Je tombe dénu de l'objectivité que vous m'apportez quant à consulter un psy. Vous m'avez convaincu, soyez en certain, mais ce qui est sur, c'est que je ferais cela dès que j'aurai entrepris et achevé mon propre combat, afin de réaliser les effets de celui-ci, effets efficaces ou non, le psy me jugera puis me le dira j'espère. Ensuite pour ce qui est de toujours garder la force de confiance en soit, c'est vrai, souvent je tends à me surrestimer, mais c'est ce qui produit ma force de volonté et de détermination, puis ce que j'extèriorise, je le canalise un maximum afin de oui, rester humble un maximum même si c'est entrer en quelques sortes en contradiction avec ce que je me convainc tout le temps : le fait que je vaut largement mieux par rapport à la vie que je mène, que je pourrai être dans les traits de mon idéals si je ne me procurais pas tous ces maux.  Mais ce qui est sur, c'est que jamais ô grand jamais je n'aurai acquis une telle puissance de réflexion  et donc irrémédiablement, un tel niveau d'intelligence sans ces maux, j'essaye donc désormais d'en faire une force afin de ne pas rester sur une culpabilité permanente, chose qui était profondément ancrée en moi dans ma période "noire".  J'espère qu'avec le temps, je serais devenu humble intérieurement et que je n'aurai plus à utiliser quelconque force afin de ne pas montrer physiquement ma surrestime de moi-même. Je l'espère du fond du coeur car de nature, je ne suis pas quelqu'un qui prend les autres de hauts, jamais d'ailleurs, j'espère donc que ma nature reprendra le pas sur ma personnalité, lorsque je serais guerri... 

Merci infiniment pour vos soutiens, en espérant que ce topic en aide des dizaines d'autres...

Nuage a bien résumé...apprends à agir positivement...et ceci passe par comprendre...1 et ensuite expérimenté...expérimenté...c'est quoi...vivre des sentiments que tu gelais avec ta drogue...en plus bois-tu, fumes-tu? Te drogue-tu...si oui...et bien décide de peut-être arrêter ceci avant...car plusieurs passages à acte se font sous influence de...esprit et inibitions rammolies...salutbonne chance...lis, relis et étudis...et essaie des choises...relis ce que tu as lu...lis des passages de gens avancé avant d'y arriver...juge les...trope toi...mais lis les...critiques ceux qui te suivent...excuse toi auprès d'eaux...demande conseil...donne en...en somme active toi vers un rétablissement pas vers ou tu était...bonne chance...et percévérance...
C'est marrant ce que tu dis à propos de ton utilisation du cannabis pour explorer les pensées. J'ai l'impression de m'entendre il y a 10 ans.Ça ne te donnera pas la solution. Mais expérimente si tu en as besoin. C'est dans le rapport aux autres que tu trouveras la solution, c'est pour ça que voir un psy (un avec qui tu te sentes en confiance) est si important. C'est la première personne à qui tu pourras tout dire, avec qui tu pourras être honnête, et qui te renverra donc ton image telle quelle. Et c'est comme ça que tu pourras progresser. Juste le fait de parler pendant une demi-heure avec quelqu'un t'apportera énormément de connaissances sur toi-même. Beaucoup plus qu'un joint seul dans ta piaule.

Bon sevrage!

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