Dépendance sexuelle

Version complète : j'ai peur de moi même
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Citation : johnjee92 a écrit: Mais il faut se confronter à la sensation de vide et apprendre à la surmonter, il n'y a pas d'autre moyen.
<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 <style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style> Je suis bien d'accord johnjee, tu prêches un convaincu ! mais je crois que tout le monde n'est pas encore prêt à faire ça. C'est là qu'il peut être bon de remplacer une addiction par une activité moins nocive, même si elle est encore un peu addictive… En tout cas on ne peut pas passer toutes ces heures qui sont libérées lorsque l'on cesse de compulser … à méditer sur le vide. Il faut bien les occuper à autre chose et c'est là que les activités de « diversion » peuvent avoir leur utilité…

J'ai tendance à croire que c'est un long processus qui ne peut s'opérer brutalement mais qui doit se mettre en place peu à peu, même et surtout si on a complètement arrêté de compulser. (Ce qui est le point de départ indispensable, tout le monde est d'accord là-dessus).

La personnalité addictive ne peut se transformer que graduellement et ce qui est encore addictif aujourd'hui, changera de motivation au cours du temps, à ce qu'il me semble… peut être d'autres activités seront trouvées, et certaines abandonnées comme étant juste des périodes de passage, comme d'écrire sur ce forum par exemple…

Je suis d'accord avec toi fritzecat, ce que je voulais dire c'est que globalement, c'est vers ce vide qu'il faut se tourner, un jour où l'autre. D'ailleurs ce n'est qu'une impression de vide, car en fait c'est à ce moment-là qu'il commence à se passer plein de choses en nous. C'est de la souffrance au début, puis bien d'autres choses agréables et parfois depuis longtemps oubliées. Tout sauf du vide!
Citation : johnjee92 a écrit: c'est à ce moment-là qu'il commence à se passer plein de choses en nous. C'est de la souffrance au début, puis bien d'autres choses agréables et parfois depuis longtemps oubliées. Tout sauf du vide!
100% d'accord: il faut traverser la souffrance pour retrouver son essence d'avant, son être pur. Tant qu'on est dans le refus, cette souffrance refusée est un obstacle infranchissable qui nous barre le chemin à la découverte de notre source, notre être fondamental, ce que  nous étions avant que les traumatismes ne fassent de  nous un être séparé de lui-même...
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  • Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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