Dépendance sexuelle

Je voulais savoir si les anciens (principalement ceux qui n'ont pas rechuté depuis plus de 6 mois/un an) s'estimaient sevrés, s'ils pensent pouvoir rechuter et si oui dans quelle mesure (fortement, modérément...) ?Par ailleurs, quelle doit être la durée de la psychothérapie ? Je me doute bien que c'est propre à chacun, mais y-a-t-il un "minimum syndical" (6 mois ? 12 mois ? 18 mois) ?

Merci pour vos réponses, 

Donc rien n'est jamais vraiment gagné ? on croit la "bête" partie et elle peut revenir comme ça du jour au lendemain ? Ca veut dire quoi replongé ? grosse rechute ? 

ca fait plus de 20 ans je suis sevré de cocaine, et je pourrais rechuter demain matin.. mais je ne le ferai pas.. je veux pas des conséquences  idem pour l'alcool... mais je le ferai pas.. je veux pas des lendemains de veille.. beurk!    et je connais pas grand chose de plus valorisant que de ce tenir face a nous meme  

Pour ma part j'en suis aujourd'hui à 17 mois de sevrage.Je me sens en sécurité relative.Je n'envisage pas la chute mais elle pourrait arriver. 

salut,moi je pense que l'homme(et les femmes)a besoin d'une addiction,pour se rassurer,pour se refugier,et comme dit sid,le diable a beaucoup d'argument plus sulfureux,dans n'importe quel domaine,le notre prete plus d'attention car il passe pour dégueux mais il reste dans la case addiction.Dire qu'on est guéri comment le savoir?avec une jolie brune(blonde rousse black.......)en string devant toi sans que que jean pierre frétille?cette expérience maudite on l'a en nous,et malgré sevrage etc on l'a vécue,subit,compris,ça veut dire qu'on a pour beaucoup construit les outils pour lui casser la gueule dès qu'elle se repointe,mais rien ne dit qu'un moment on ne sera pas dans un profond sommeil,le cul en arrière avec notre joli caleçon avec des coeurs,un petit filet de bave qui s'échappe de la bouche,telement nous sommes,à nouveau, dans l'insouciance et l'apésement,avec le bouclier,enfermé dans le placard de mamie dans la chambre d'à coté.......qu'elle ne reviendra pas et blaaaaaaaaaaa

x)~~

evidemment je déconne,j'ai le caleçon avec des coeurs et je bave un peu quand je dors(et jamais le cul en arrière par contre),mais j'ai toujours la mains près de mon glaive(dans la table de chevet) près a fendre le mauvais.

je ne crois que le sevrage soit la sobriété...j'ai déjà écris la dessus... Pour arriver à une sobriété...il faut du temps, un sentiment d'oublie des bons cotés de la dépendance... Moi la cigarette...oublier totalement ou presque les bons coté de ceci...5 ans après... Pour alcool...près de 18 mois et de brefs souvenirs me reviennent...mais sans plus. Pas de grand souvenirs de plaisirs...quelques...Pour le sex...et bien...plusieurs souvenirs de plaisirs...mais je tiens (mon sevrage) et je développe des mécanismes pour me synchroniser sur les aspects négatif de mes passage à acte (comme vraiment moins de pulsions physiques...presque plus...) et pratiquer et réfléchirs aux gains d'une nouvelle vie...(exemple: en vélo me syncronyser sur la route = plus sécuritaire que de regarder à droite gauche les filles...) et aussi être plus attentif au travail...aux discussions (dans un café...au resto).Salut