Dépendance sexuelle

Version complète : Sobre et-ou abstinant
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Bonjour,lors de ma dernière rencontre avec psy, on a eu une discussion sur mes anciennes dépendances ex: drogue, pot, boisson, cigarette...Avec lesquels je trouve cela facile de vivre «sans elle»...elles ne font plus partie de ma vie...Et de ma dépendance au sex...avec laquel je suis abstinant...mais pas sobre...Je ne suis pas encore sobre...mais j'ai hate de pouvoir le dire...Mais dans la pénible marche de l'abstinance...je n'y crois pas...n'y vois pas le bout...C'est envisageable?Vivre sobrement....ca été des mots qui ont bien terminer une série de sessions de réflexion...Djihad,s.v.p., par respect ne participe pas à ma discussion si tu y inclus des aspects religieux......ou de débat...j'ai besoin de conseil pas de religion ou de débat.<b../../../em>MerciAlexandre

Vivre sobrement, je sais pas ce que tu entends par la. Si tu entends ne plus avoir de pensées cochonnes, je dirai que c'est pas un probleme d'en avoir si elles entravent pas ta vie au quotidien et dans ton entourage. Ce qui suppose d'avoir le recul necessaire pour parler librement avec tout un tas de personnes différentes. Cette liberté n'a pas de prix. Enfin c'est l'expérience qui me dit ça aujourd'hui. J'ai decouvert que quelle que soit l'ardeur qu'on met dans son combat pour eradiquer cette saleté de la tête, elle revient toujours. Ben wè on est pas tous doués pour l'abstinence sur commande. C'est comme de regarder un match de tennis et de dire tiens ça y'est je sais jouer. ON fait illusion, mais quand la partie commence vraiment on fait quoi ? On constate que si le ridicule ne tue pas, on en grandit pas non plus.

Merci mais je ne voudrait pas croire a tes constats tout de suite. Je me suis libérer de d'autres dépendances et je ne ressent pas le besoin de toujours parler de pot...par exemple...Les idées cochonne comme tu le dis c'est certainement une mauvaise habitude, car je me rends compte que ca se produit dans certaines circonstances, idem avec visite de site xxx...Je te recommande de concevoir une sobriété...et de réfléchir...travailler sur ce mot...Peut-être une piste de réflexion.Et pour ma part, dans mon milieux et avec mes amis...on ne parle pas de sex ou de pornographioe ou de trips sexuel...On garde habituellement ceci pour notre intimité...C'est lorsque je déborde justement de ce cardre que je souffre et fait souffrir...Si tu ne te sens pas dépendante...dépendantéééque fais-tu ici?C'est certain que si je me déculpabilise dans des relations avec des gens qui adore les pensées cochonne et échangisme...alors non il n'y a plus de problèmes...HEUUUU c'est pas le but de ce site...En tout cas...merci quand même

En effet, certains alcooliques et toxicomanes établissent une équation directe mais erronée

entre le temps depuis lequel ils ont mis fin à leur consommation et la sobriété, alors que

manifestement ils demeurent encore aux prises avec d'importantes perturbations affectives.

Par contre, d'autres membres définissent l'état actuel de leur condition par l'abstinence et ce,

malgré l'absence de toute consommation depuis plus de dix ans; les raisons invoquées par ces

derniers sont à l'effet de leurs difficultés résiduelles dans la gestion de leur vie affective, de

sorte qu'ils ne peuvent décrire leur condition de cheminement comme répondant à leurs

critères personnels de la sobriété. L'utilisation différente et parfois aléatoire de mêmes termes

pour décrire une telle différence dans le processus de rétablissement suggère à coup sûr un

besoin d'éclaircissement.

De plus, un autre aspect de cette nomenclature ajoute à la confusion. La définition même

du terme sobriété définit la présence d'une conduite caractérisée par une certaine modération,

une réserve, de sorte qu'un alcoolique ou un toxicomane qui maintient une consommation

modérée pourrait tout aussi bien clamer sa sobriété, ce qui lui attirerait probablement toute

une pléthore de remarques de la part de ses pairs, qui auraient tôt fait de lui rappeler les deux

conditions de son appartenance au mouvement que sont l'arrêt de la consommation de toute

substance ainsi que la volonté sincère et honnête de s'en sortir. L'abstinence doit donc faire

partie en tout temps et tout lieu du credo du membre et ce pour sa vie durant. Contrairement

au contenu de sa définition, la sobriété retient donc une mention implicite d'abstinence,

condition sine qua non d'accession ultérieure à la sérénité.

Se pourrait-il que les concepts de l'abstinence et de la sobriété possèdent en commun

l'arrêt puis le maintien de la consommation de toute substance, d'une part, et que d'autre part

le passage de l'abstinence à la sobriété, eu égard à la définition rigoureuse de cette dernière,

devienne alors lié au développement de la capacité d'une saine gestion de sa vie affective? En

d'autres termes, se pourrait-il qu'il faille concevoir l'abstinence comme la condition première

de l'accession aux affects (état de ce qui est ressenti), et la sobriété comme l'acquisition d'un

processus de gestion efficace d'une relation retrouvée avec sa vie affective? Une réponse

positive indiquerait à coup sûr une parfaite correspondance entre la sobriété et le processus

d'acquisition de son identité, compte tenu de l'importance de la gestion des affects que retient

ce concept. Voilà la démonstration que tente de faire cet article, à la lumière des

connaissances proposées par la psychologie.

C'est drôle de relire ceci un an plus tard...je crois que je ne voulais peut-être pas être abstinant..Mais je suis maintenant certain que oui, comme ce texte le dit si bien un est si ne quanon avec la sobriété...La vie en harmonie avec nos désirs et aspirations...et nos problèmes et conflits passager...Je suis toujours abstinant...et oui je débute à ne plus me convaicre mais à gouter à une sobriété...dans ma vie (en fait apprendre à vivre et gérer mes problèmes sans fuir...et les voir comme des expériences positives...ne pas les enraciner...)Vers la sobriété... Merci pour notre discussion ma chérie hier...ton ouverture...ta force...et ton intérêt de comprendre et m'aider dans ce qui a été ta blessure...et le messonge... Alex 
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  • Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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