Dépendance sexuelle

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Bonjour,Je me considère comme dépendant à la pornographie même si la plupart du temps je ne vais qu'une fois le soir voir des vidéos et me masturber. Parfois je resiste pour n'avoir pas trop de cernes sous les yeux le lendemain. (mais j'ai d'autres comportements sexuels exagérés qui m'amènent aussi ici) Si je comprends bien ce que j'ai vu sur  http://www.orroz.net/index.htm">[u[/u], site qui n'est plus en activité mais toujours existant, se faire du bien de façon saine, ok, mais avec pornographie, pas ok! Et la fréquence? Et le désir naturel, jusqu'à quand a-ton des reflexes de libido normaux et à partir de quand est-on considéré comme obsédé, addicte? Et ces limites fixées dans des tests ne sont-elles pas trop variables suivant chaque personalité? Et un célibataire, n'a t-il pas plus de raisons de se caresser? Ou simplement chaque partie d'un couple vivant à plusieurs centaines de kilomètres pour différents motifs (comme c'est mon cas avec une petite amie)?...Mes autres tares concernent toujours un trop plein de désirs sexuels et une certaine bisexualité que je voudrais maîtriser, ou stopper vu qu'elle n'a aucun poids amoureux... Je sais que vous avez beaucoup à lire, mais j'en parle un peu dans ce blog: http://danslepiegerespirer.over-blog.com/" title="http://danslepiegerespirer.over-blog.com/[/u][/url] ...Content de me sentir moins seul (même s'il vaudrait mieux qu'on ne soient pas tant) d'autant que ce forum a l'air bien vivant. Je vais aller vous lire aussi, promis. A bientôt.
Bonjour. Le site d'Orroz n'est pas "mort", il a fermé l'ancien forum qui y était associé et un de0s es anciens membres a créé celui-ci à la suite. Orroz ne vient pas ici, mais il lui arrive de mettre son site à jour parfois.Je crois que c'est une interprétation qui est sujette à caution et sur laquelle il y a souvent discussion ou désaccord, cette notion de masturbation "non compulsive", ou "autorisée en cas de trop-plein"... Je pense qu'une telle MB n'est en rien nuisible pour quiconque n'a PAS de problème de dep sex. Mais pour qui en a un, avec ou sans porno c'est alimenter la pompe à depsex, et il vaut mieux commencer un sevrage et s'abstenir totalement de libérer dans son esprit en sevrage les endorphines etc...

A plus

C'est gentil de me répondre si rapidement. Je n'ai pas employé le terme de site "mort" moi non plus mais vous faites bien de préciser que c'est tout simplement le forum d'Orroz qui est fermé. Si j'avais pris le temps de lire là-bas tout ce qu'il y a à lire, je me sentirais peut-être déjà un brin mieux. J'ai au moins lu toute la page d'accueil avec présentation et extraits de correspondance. Le moins que l'on puisse dire c'est que la ton est directe et clair. Je me suis tout de suite reconnu dans certains passages comme le kleenex à la poubelle après avoir éteint l'ordi...Je souhaite plus un échange personnel, puisque nous sommes uniques, et dans les forums comme dans la vie, nil y a prendre et à laisser mais ça a au moins le mérite dêtre spontané, vivant!...Merci à vous, Mondom.

apres de nombreuse année de participation sur le site a partager avec la gang, ce qui ressort en gros plan est que la dep sex tue le desir naturel..et pour pouvoir retrouver ce désir naturel, il n'y a que le sevrage..pour retrouver l'équilibre le plus vite et efficacement possible, faut aller visiter les 2 extremes.. ensuite l'équilibre s'installe ../../../p></div>
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ps: c'était la page "sevrage" que j''avais lue chez orroz, au fait...
Merci, nuage. Il faudrait que je sache mon degré de dépendance, si toutefois ça peut se mesurer en degré. J'ai la chance de faire très peu souvent de répétitions dans la journée ou la soirée. Une fois tard me suffit et je peux aussi oublier volontairement plusieurs soirs, mais c'est vrai que l'appel des sites pornos, quand il arrive, c'est presque comme un ordre, "allez, profite-en, tu es encore assez jeune, la mécanique fonctionne pour l'instant, rinces-toi l'oeil et fais-toi plaisir, maintenant!"J'ai l'impression que mes désirs sont naturels mais je fais entière confiance à votre expérience. Si l'imagination ne me suffit plus ou rarement et qu'il me faut au moins des images, ne serait-ce qu'en photos, je pense que je suis dans le cercle "vicieux". A bientôt. 
Bonjour,J'ai ouvert un "compteur" de sevrage mais cette semaine passée a été si facile, sans aucune masturbation (désolé pour ceux en peine), avec très peu d'envie de le faire (et surtout aucune envie d'aller mater une des ces petites vidéos porno gratuites) que je me pose des questions sur ma dépendance ou pas au porno. Il faut dire que je n'ai internet chez moi que depuis 3 ans et qu'une grande partie de ces 3 nans, j'ai été assez prudent avec le sujet. Dernièrement, seulement, ça devenait un peu rituel. Je suis là peut-être par peur d'être allé trop loin. Comme j'ai toujours eu peur d'aller trop loin avec ces images, j'ai du faire à chaque fois comme un chat qui effleure l'eau de sa patte pour prélever quelques gouttelettes ou juger de sa température. Par contre y mettre la patte entière, surtout pas!...Une semaine pour juger, c'est peut-être rien. Je ne sais pas. Est-ce que j'ai eu ces voyants rouges qui se sont allumés comme pour les risques avec l'alcool, comme pour les risques avec la drogue?...Je suis venu ici parce que j'avais peur pour le porno mais que je me disais aussi que je réponds un peu trop facilement en tant que bisexuel (comment être sûr de l'être?) (bisexuel côté féminin, dirais-je) à des désirs impérieux qui me font prendre rdv par tel (réseaux gays audiotel) et internet, juste pour du sexe, de la baise pure et simple, aucun regard ou presque dans les yeux de l'autre, aucun sentiment, et quand ça me prend, c'est assez torride. C'est si ridicule me retrouver comme un con, à peine la jouissance venue, en refusant la seconde suivante le moindre geste envers moi, et en en faisant qui plus est autant envers l'homme avec qui j'ai littéralement "baisé". C'est presque la fuite aussitôt, d'ailleurs, jusqu'à nouvel ordre, avec un nouvel inconnu. Aucun effort de tendresse avant, après, pendant, contrairement à avec une femme où c'est naturel.Entre chaque crise, honte, regrets, culpabilsiation, mais aussi aussi une façon de relativiser beaucoup, comme pour me dédouaner de mon manque de morale et de volonté de me dire non. C'est de cette compulsion-là sans aucun doute dont je suis atteint. Pour les images vidéos ou photos, je ne m'ineresse pas du tout à celles avec homme/homme mais que hétéros, bizarrement... Si je raconte ça vite fait, c'est pour dire que mon septiscisme envers la non masturbation totale qui est recommandée ici n'a finalement pas lieu d'être puisque je suis peut-être sur une autre problématique. Hier soir je me suis fait du bien au bout de ces 7 jours d'abstinence totale en pensant à ma petite amie que je retrouve samedi (oui, mes pulsions me poussent jusqu'à l'infidélité (jamais avec une autre femme) malgré que j'ose dire "je t'aime" à la compagne que j'aime). Nous nous voyons deux jours par mois. Comme j'ai eu du mal à m'endormir hier soir tard, je me demandais si ce n'était pas une sorte de pression interne dans le corps et dans mon cerveau et qu'avant samedi, il fallait que je me soulage, que je lache prise. Je l'ai fait avec beaucoup de plaisir, la conscience tranquille, sans aucun regret de rompre ce pseudo sevrage...Je le dis bien, et j'insiste, pour ceux qui sont fragiles et dépendants de façon certaine, je le fais parce que je ne suis sûrement pas allé si loin que je pensais dans les excès du porno. C'est très important... Maintenant, si mon témoignage est dérangeant, hors sujet, inadapté, j'accepterais une éventuelle censure. Je pose aussi la question: est-ce que mon problème concernant ma vie sexuelle particulière et ses travers a une place ici? En gros est-ce que je peu être aidé sur ce site, sans préjugés? Avec ces comportements avillisants je suis aussi en proie à une dépendance sexuelle, non? Je parle déjà de tout ça dans mon blog dont le lien est sur mon tout premier message. Pour ma part, je me sens bien ici parce que ça bouge. On aurait envie de lever l'"incognito" comme pour plus d'efficacité, mais c'est bien plus facile comme ça. Le bienfait de l'aveu et des échanges entre anonymes suffit. J'ai l'impression d'une bouffée d'oxygène. Orroz et certains participants m'ont déjà fait entrevoir de l'espoir. Il y a comme un dénominateur commun universel qui nous fait nous comprendre souvent entre nous et nous comprendre nous-même, des choses ressassées seul prennent tout à coup du poids ensemble, et ça nous aide beaucoup... Re sevrage jusqu'à samedi. A bientôt.
dlprespirer, ce site en effet ne s'intéresse pas spécialement à la dépendance au porno, mais à la dépendance sexuelle. Pour ma part, quand j'utilise le mot "porno" j'y englobe autant les images vidéos etc pornographiques, que les photos sur les magazines, les rencontres réelles, etc. Je pense qu'il n'y a pas de grande différence entre être accro "uniquement à visionner du porno en se MB éventuellement devant" ou"faire des rencontres de type plan cul", avec des femmes ou des hommes.Dans "les excès du porno" au sens strict, c'est-à-dire conso de pornographie, tu n'es pas allé très loin dis-tu. En revanche, dans la conso "plan cul" ce n'est pas la même chose. Le hasard et sans doute certains paramètres font que c'est là ton vécu, le sentiment de honte, de remords, de je ne sais pas comment tu veux l'appeler mais que tu décris me semble en tous points similaire. 
Merci Mondom. Oui, je pense aussi qu'il y a correlation. Le "plan cul" homme est entré dans ma vie vers les 35 ans, juste après mon divorce. Le "plan cul" femme a été presque inexistant. Cela est arrivé une ou deux fois, à mon dernier célibat. Je n'imagine pas ce possible "plan cul" femme parallèle à une relation sérieuse avec une autre femme. Le "plan cul" homme, si, mais heureusement, je n'établis rien à l'avance, d'ailleurs au début d'une relation amoureuse avec une femme, j'ai plutôt le sentiment que cela mettra fin aux "plans cul" homme. C'est en cela que je rechute, surtout s'il y a des soucis que je n'arrive pas à régler avec ma compagne. Les soucis peuvent être de tout ordre, par forcément sexuel. Le souci sexuel, c'est souvent le peu de fréquence des rapports.  En écrivant cela, je me rends compte, que mes amies trompées par cette infidèlité particulière ont eu un logement plus ou moins éloigné du mien. La première (histoire de 6 ans) a fini au bout de 2 ans par avoir un deuxième logement à 150 kms à cause du travail, et ça m'a fait basculé dans mes amusements libertins homos. Celle avec qui je suis aujourd'hui est à 500 kms, pas séparée mais sur le point, avec 2 enfants, ne voulant pas quitter son concubin qui est propriétaire de la maison trop brutalement, et pour sa santé à lui, et pour les enfants, et pour une situation professionnellle qu'elle doit retrouver pour cela. Ce sont donc 2 cas qui m'ont fait déconner, alors que j'ai eu des périodes assez longues comme env 2 ans avec fantasmes mais sans passer à l'acte "plan cul" homme. Pardon d'insister sur le terme entre guillemets, ça fait répétition mais ça peut être plus clair. Je ne peux jamais parlé de ça au passé, le tout dernier "plan cul" homme ne remontant qu'au mois dernier, 30 Septembre. Pourtant, aujourd'hui, à me confier ici (inscrit le 5 Octobre), et avec une méthode de sevrage qui peut habituer mon cerveau à moins de nourriture de plaisirs sexuels avec rencontres réelles/images porno, je me sens confiant. A bientôt.
Bonsoir,J'ai effectivement comme prévu vu mon amie samedi et dimanche matin. Sur la route du retour, j'ai été pris de tentations parce que je me sentais dragué par un homme en voiture que je voulais laisser passser parce qu'il me collait mais il continuait même si sur l'autoroute où nous étions j'avais beaucoup ralenti. Ensuite, il ma doublé enfin, mais sans me regader. Il s'est arrêté à une aire de repos pas longtemps après et j'ai fait de même. En fait, j'ai du me faire des idées, ou alors, je n'étais pas dans ses préférences quand on sest croisé alors qu'il revenait des toilettes, parce qu'il m'a dit "pas facile pour le carburant en ce moment". J'ai juste répondu "oui, c'est vrai". Chacun est reparti, lui d'abord pendant que j'étais aux urinoirs, sans faire attention à l'un et à l'autre. J'appelle ça une rechute "plan sexe" (on va dire). Le pire c'est que me sentant excité, j'ai pris mon portable comme il m'arrivait avant le sevrage et j'ai fait le n° de réseau rdv gays. Je n'ai pas pu avoir de rdv vers la grande ville auprès de laquelle je passais, mais si on m'avait dit ok, j'aurais dis ok, je crois bien, puisque je n'ai plus peur des aventures de ce genre. J'ai réussi à ne plus appeler. peut-être bien parce que je savais que j'allais passer même pas une heure après devant "un lieu de drague", une aire de repos très fréquentée et connu par les interessés. Avec les envies que j'avais réveillé par ce qui m'était arrivé avant, je ne voyais pas comment y échapper puisque j'ai toujours craqué sans pouvoir me raisonner, comme emporté dans une tempête d'excitation. Je peux même penser à ma ptite amie, à notre amour, dans ces cas-là, l'envie est plus forte, les fantasmes prennent les commandes. J'avais parlé aussi du fait que quand je venais de passer des bons moments avec mon amie, j'avais l'impression d'avoir la libido à fleur de peau et qu'au lieu d'être rassasié les heures suivantes, c'était pire qu'avant d'aller la voir...Je crois que le site (ici donc) m'a bien aidé. J'ai pensé cette fois aussi à ma ptite amie, et en plus, j'ai pensé à un grand fils de 19 ans avec qui je vais bientôt avoir un repas et peut-être une promenade que lui même avait sollicité, comme dernièrement. Ce fils est depuis un an victime de bipolarité, cela avait commencé par une bouffée délirante et il a fait deux rechutes. Il m'a d'ailleurs lui aussi avoué avoir été accroc au cyber sexe et avec des images très choquantes (avant ces trois longs séjours à l'hôpital), mais il y avait aussi le cannabis, l'alcool trop souvent avec des amis plus ou moins délinquants. Depuis, la maladie l'a calmé et moi j'essaie de lui faire voir la vie autrement quand je le visite à l'hôpital ou quand il est en "perm". Il sort définitivement vendredi (j'espère que c'est définitif). On parle beaucoup et je le conseille sur ce que je peux, on parle bien plus qu'avant qu'il ait ces troubles mentaux régulés par les médicaments...Je reviens à ma route. Je me suis dit que je ne pouvais pas dans 2 jours tenir un discours d'être sérieux à mon fils et aller faire ce que j'allais faire, suivre mes pulsions si facilement...Eh bien, je suis passé devant le lieu en y jetant à peine un coup d'oeil, mais de toute façon, mon choix était fait: pas de cette merde de sexe à la sauvette, en tous cas, cette fois, là, aujourd'hui! Je me demande encore comment j'ai pu inverser la tendance. Quelques kilomètres avant chez moi, il y avait un autre endroit, ça été très facile de l'ignorer, le pire était passé, et j'avais comme repris la loi sur mes désirs... Je crois que sans mes aveux dans mon blog et surtout dans ce forum, et sans l'aide que j'ai pu y trouver, tous mes raisonnements d'amoureux et de père n'aurait servi à rien....En fait aujourd'hui, j'ai fait un pas en arrière et un pas en avant, une défaite puis aussitôt une victoire. Mais c'était si difficile pour la victoire, pour le pas avant, que j'ai quand même l'impression d'avoir avancer d'un plus grand pas que la pas fait en arrière. Et ça, en l'espace d'une heure! Bon, bref avant de revoir mon amie (peut-être que le mois prochain), je reprends mon sevrage sans images sexe et en laissant mon penis un peu tranquille. Merci à vous. A bientôt
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