Bonjour a toi lostin,et bienvenue, je confirme ce que dit Jim, tout seul c'est completement insurmontable, peut etre que certaines personnes réussisses mais je doute fortement que ce sois la majeure partie.Ton parcours ressemble fortement au miens, ma mere m'etouffe et mon pere est absent, et je suis jeune aussi ( 21 ans^^ ). Je suis deja allé voir un psy, certes ce n'est pas facile...je te raconte pas comment, la veille j'ais eu du mal a trouver le sommeil. Mais en sortant, tu te sent un peu plus fort, tu es fier d'en avoir parler. Le truc qui ma rongé pendant un moment et qui je crois, en ronge plus d'un...c'est de garder sa pour toi tout seul...et c'est pas bon, n'hésites pas a lire mon parcours, peut etre tu y trouveras certaines similitudes et bon courage a toi.
Je vais enfoncer une porte entrebaîllée...Si cela ne posait pas problème, cela ne servirait à rien d'aller chez le psy...Je suis sûr qu'ils sont habitués à avoir des gens qui viennent les voir et qui sont un peu gênés de parler de ce qui leur pose un problème d'importance. Et puis ils voient leur patient franchir le pas et "oser" marmonner la raison de leur visite, et puis après commencer le travail sur soi-même... Si j'allais chez le psy en disant bien fort "Salut toubib, alors moi j'passe passkeu j'ai un problème, voilà c'est pour (insérer n'importe quoi ici)", sans me soucier de vérifier que la porte est insonorisée et que rien de ce que je vais lâcher ne sortira de la pièce etc, c'est probablement que ce "problème" ne m'en pose pas tant que ça. Évidemment, à moi il en pose, alors qu'à d'autres, pas... Phobie des ascenseurs, ou se laver les mains 150 fois par heure... C'est un fait, pas une raisons d'avoir honte, justement je viens chez le docteur pour essayer d'y remédier et de m'en défaire tout simplement.Si j'avais ce TOC de me laver les mains tout le temps, probable que mes mains me sembleraient autant intimes et sujettes à la honte et la pudeur que mon sexe en cas d'accro à la MB...Il s'agit d'aller chez le docteur une fois que l'on s'aperçoit que sur les plateaux de la balance mentale, le plateau de la peur, honte, envie de rester enfoncé et de ne rien changer devient moins lourd que celui de la décision véritable et profonde d'en finir avec cela, de changer, de reprendre les choses en main. Au niveau conscient, c'est je pense acquis pour tout le monde qui s'inscrit ici, mais il faut que ça décante et finisse par peser aussi de côté de l'inconscient... Je pense que d'une le sevrage sert à ça AUSSI, et que de deux les cogitations qu'on fait et refait sont de nature à exercicer ce décantage, le catalyser. Il est donc "normal" d'avoir un temps où on refuse d'aller consulter, comme il est "normal" suivant le temps qu'on accorde à cette maturation décantatoire, de voir que c'est en fin de compte indispensable et surtout posible même si angoissant. Pour rebondir sur ce que dit Mikaa83, à ma connaissance et depuis les 18 mois et plus que je suis sur ce forum, ceux qui s'en sont sortis ou ont avancé significativement sont TOUS passés par cette case psy, c'est un outil, une étape, un levier, un tremplin, et cela ne fait pas le boulot à votre place mais c'est incontournable...<p>Enfin, je répète que le psy en question, n'oubliez pas qu'il en voit à longueur de journée, et des plus graves et des moins graves, des plus honteux et des moins honteux, et qu'il ne s'engage pas intimement dans tout ça mais fait son boulot avec toutes ses compétences pour aider ses patients à se venir en aide.
Je pense que si ...Seulement pour mettre fin à une addiction on la remplace par... Une autre =DDe préfèrence meilleur pour la santé x') en l'occurence le sport -_- ^^
Que faire alors ? Pour le moment je n'ai pas craqué même si la tentation est là :/