Bonjour! mon psycothérapie sait que je suis accro, je lui ai dit après qu'il m'ai demandé si j'en regardait. heureusement qu'il m'a demandé ca par hasard, parce que moi j'aurai été trop gêné de lui dire de but en blanc. Il crois que peux arrêter, il me dit qu'il y aura peut-être des rechutes puisque c'est ma drogue dit-il. Mais encore, il ne sait pas ce que je fais (je ne fais pas que regarder du porno, j'ai aussi certaine pratique particulière) je ne sais pas si je devrais lui en parler ou si je devrais juste m'en tenir au fait qu'il sait que je regarde du porno.je suis perdu dans ma sexualité, j'aimerais en parlé, mais je me sens écrasé, j'aimerais pouvoir en parler aussi à un proche, mais c'est malheureusement impossible vu les pratique que j'ai. ce probleme me bouffe.
Bonjour lee.. Tu sembles connaître toi-même la réponse à ta question; tu ressens le besoin, l'envie d'en parler. Alors je crois que tu devrais prendre ta respiration et aborder sérieusement le problème avec lui? Il ne semble pas "ne rien savoir de plus" puisqu'il te parle de rechutes, de "drogue" etc... Je veux dire, il semble prendre la question au sérieux.Tes pratiques, quelles qu'elles soient, ne sont que des faits, des anecdotes, personne n'est là pour te juger là-dessus, c'est le problème que tout cela te pose et son origine qu'il te faut traiter, et lui est là pour ça (de plus il doit ne voir d'autres...)
Bonjour Mondom, merci pour avoir répondu. c'est que je suis tout perdu en ce qui concerne ma sexualité que je ne sais plus faire la part des choses. Je ne sais pas si, certaines de mes pratiques sont lié à ca ou à d'autre problème. Je vais le dire ici (vive l'anonymat) par exemple, aimer s'habiller en femme, es-ce du au fait que je regarde trop de porno, ou es-ce autre chose?je sais que je regarde trop de porno, mais je ne sais pas si certain de mes soucis sont lié à ca ou à autre chose.
Sans doute que très probablement qu'on peut affirmer sans savoir mais en ayant peu de chances de dire n'importe quoi, que ce genre de fantasme (là non plus tu n'es pas le seul, loin de là, ne t'embarrasse pas de trop de honte ici...) ou de comportement ne découle pas du fait de regarder du porno, mais que ceci et le fait de porno-consommer viennent du même point de départ. Les deux ont les mêmes origines, l'un n'entraîne pas l'autre, c'est complémentaire. Entame ton sevrage avec opiniâtreté et ouverture, et tu ne vas pas tarder à entr'apercevoir que tout cela n'est pas du tout un problème purement sexuel, mais qu'il y a sans doute des bidules et des machins qui sont verrouillés en toi et que tu évites de déceler même, et que ce genre de comportement (ce pourrait même être autre chose, une autre dépendance même, genre alcool ou jeu vidéo ou courses de chevaux...) te sert justement à fuir devant ces problèmes que tu as sans doute décidé de refouler et d'oublier... Tu pourras alors envisager d'ouvrir la boîte et de laisser entrer la liberté à la place!
ca risque d'être difficile d'avouer cette pratique à mon psy [img=../../../uploads/smil3dbd4df1944ee.gif" border="0]" width="15" height="15[/img]devrais-je attendre qu'il me pose des questions ou essayer de lui dire de but en blanc?
Je risque d 'être un peu trop direct et franc mais tu vas voir ton psy pourquoi ? Tu va le voir juste pour parler de la pluie et du beau temps et tu rentre chez toi te ressasser tes soucis et trouver des solutions seul ? D'après ce que tu as dis ton psy en a parler de façon indirect avec toi donc indirectement il t'incite à en dire plus, aurait tu peur d'en dire plus à ton psy ? Le role d'un psy n'est pas seulement d'encaisser à la fin de la séance, il est là pour t'aider à trouver d'éventuels pistes au soucis qui te pourrisse la vie et qui t'amènent à avoir ce problème d'addiction compulsive.Lance toi ! Ton principal risque est de t'en sortir en t'expriment !
Bonne chance ++
Le psy n'est pas un juge, il n'est pas gardien de la moralité, il est là pour t'aider à te débrouiller toi-même avec tes problèmes. SI tu n'arrives pas à te l'avouer à toi-même, tu n'arriveras pas à lui en parler. Si tu arrives en revanche à lui en parler, cela veut dire que tu te fais faire un grand pas à toi dans la connaissance de ce qu'il en est, d'où cela vient etc.Y a-t-il quelqu'un à qui cela te semble plus facile d'en parler alors, que quelqu'un que tu vas voir exprès pour ça, qui en voit bien d'autres et des pires à longueur de journée, et dont le métier est de ne pas te juger mais de t'accompagner pour arriver à aller mieux dans ta tête? Parents? Amis? SOS Amitié?IL faut dire que le psy se fiche pas mal des détails croustillants de tes agissements, en fait. Moi je n'ai pas donné "tous les détails" à la mienne, non pas que j'avais trop honte, mais je n'allais pas pour confesser ou expier des fautes mais pour regarder dans ma tête et je ne parlais de "pratiques" que lorsque cela ME semblait utile pour préciser tel ou tel point... Ce "détail" te semble important à toi puisque c'est ce qui te retient de parler de dépendance sexuelle à un psy visiblement, à ta place c'est bien la question que je me poserais et je le ferais avec lui... "Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à parler avec vous de dépendance sexuelle qui est le problème numéro un pour lequel je viens vous voir...?" et pourquoi pas "Ai-je besoin de vous décrire tous les détails de mes agissements, en fait?"N'oublie pas que le psy ne va pas te guérir d'un médicament ou d'une passe magnétique, que c'est toi qui vas faire le travail mais que son aide et accompagnement te seront indispensables. Or, toi tu sembles savoir déjà la teneur de tes "pratiques", donc en fait tu butes sur un problème déjà en partie dépassé...De plus: ça risque d'être difficile, oui, ok. Mais qu'est-ce qui est le plus difficile au fond? Préfères-tu rester enfoncé dans la dep sex et ces pratiques entre autres qui te font te rouler par terre de honte ou je ne sais quoi, plutôt que d'affronter ce mauvais moment qui peut se transformer peut-être en libération? De quel côté penche donc la balance...? Dès qu'elle penchera plus du côté "je veux m'en sortir" que "j'ai peur d'avoir du mal à dire des mots", tu ne seras plus coincé à cette étape...
vous avez raison, je sais, c'est dure à accepter, mais je ne peux pas le nier. Je ne serais pas plus à l'aise avec ma famille ou amis pour leur apprendre une chose pareil. je vais voir mon psy seulement au début du mois d'Aout, car je le vois seulement 1 heure à chaque deux semaine (soit 2 heures par mois), c'est pas beaucoup, mais il a l'avantage d'être un psy au privé (ce qui veux dire que je peux faire un suivit sur du long terme au besoin). habituellement, il me demande entre chaque rencontre d'essayer de faire tel ou tel affaires, comme la dernière rencontre, c'est la qu'il a appris que je regardait du porno de fasson abondante, il m'a demandé d'essayer de ne pas en regarder, de faire autre chose quand je sent que ca vient. malheureusement, je devrais lui annoncé que c'est un total échec. En effet, depuis ma dernière rencontre, j'ai succombé à la tentation comme d'habitude.il sait que je regarde du porno, il sait que j'en regarde beaucoup, mais pour l'instant, il ne sais rien de plus par rapport à ca. faut dire que au départ, j'ai commencé à rencontrer mon psy pour d'autres problème personnel de santé mentale, et non pas pour cette addiction, c'est pour ca que on est tout les deux resté surpris que lors de la dernière rencontre qu'il m'ai posé la question à savoir si j'en regardais, il m'a félicité de ma franchise.mais j'ai beaucoup de chemin à faire, et je suppose que s'il me demande d'arrêter (chose que j'aimerais réussir) c'est probablement qu'il constate que cela ne m'aide pas. il sait aussi que j'en suis complètement accro, depuis longtemps. il m'a dit quelque chose comme: "présentement c'est ton corp qui te controle, mais il faut que tu apprennes à prendre le dessus, et à ne pas te laisser controller par lui, car c'est à toi de le controllé." reste juste à réussir....si je lui dit tout, mes pratiques, vraiment tout, croyez vous que cela va vraiment pouvoir l'aider à me guider d'avantage pour m'en sortir?
oui... ! Il va pouvoir t'aider.. C'est comme si tu allais chez le médecin pour un sciatique et que tu lui dises que tu as du mal à respirer.. Tu fausses les pistes.. c'est gagner du temps.. Et dans la psychologie.. rien n'est anodin.. tout s'explique et a un sens.. C'est un rouage minutieux..Tu aimes t'habiller en femme.. bon c'est un fait.. il doit y avoir une raison.. suffit de la trouver.. de comprendre .. de s'accepter.. et puis de modifier ce comportement si cela ne te rend pas heureux voire malheureux.. c'est tout !Ton psy entend toute la journée des choses bien plus complexes, intimes et personnelles...Il ne sera pas choqué.. (je ne le suis même pas moi..) un psy est la pour entendre, aider, écouter sans juger.. en gros, je vais être directe.. il n'y a pas d'affect de son coté.. il s'en fout que tu fasses ci ou ca.. Il est juste là pour te guider, pour que tu y voies plus clair.. Il ne te forcera pas à arrêter ou a continuer.. tu es seul libre de ton choix !!!allez courage.. mets toi a nu.. tu le payes pour ça..!!!!
lee tu considère sur tu as échouer ? Que tu n'as rien fait ?T'inscrire sur le site est déjà un premier pas, sers toi des divers conseil du forum d 'orroz pour te permettre de réussir ton sevrage.Pense surtout à faire les autres bons gestes (supprimer tes vidéo et tes sites de Q, mettre un logiciel de contrôle parental ou activer le contrôle parental de Windows)et reprendre des activités, comme faire des activités avec ta copine ou autres que le visionnage des vidéos et sites de Q qui t'isole. Concernant de quoi dire à ton psy ce n'est pas trop à nous de te le dire mais à ton psy !^^ Hey oui ton psy est là pour écouter tes craintes et angoisses de plus il à l'air perspicace et les praticiens n'ont pas tendance à poser des questions au "hasard" et il t'a, peut être, amener dans cette situation pour te mettre face à ton angoisse et voir comment tu réagirais
.A toi de choisir si tu veux avancer dans ta psychanalyse .