Citation : John Warsen a écrit: <!--[if gte mso 9]> Normal.dotm 0 0 1 112 644 bv, 5 1 790 12.0 0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false <style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ascii-font-family:Cambria; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-theme-font:minor-fareast; mso-hansi-font-family:Cambria; mso-hansi-theme-font:minor-latin; mso-bidi-font-family:"Times New Roman"; mso-bidi-theme-font:minor-bidi;} <!--[if gte mso 9]> Normal.dotm 0 0 1 101 577 bv, 4 1 708 12.0 0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false Il s'agit d'accueillir ses émotions, au lieu de se barrer dans la compulsion ; l'essentiel, c'est de savoir qu'on va passer par ces états dépressifs, et de s'y préparer, puis de les traverser en conscience, c'est à dire en confiance. Un truc à se rappeler quotidiennement pendant les affres du sevrage, c'est qu'on va pas en mourir, malgré qu'on sente bien que quelque chose meurt en nous avec beaucoup de couinements d'indignation. Ouf , c'est pas nous : c'est l'autre.Bon courage à toi ! <!--EndFragment-->
John John John
je viens moin souvent sur le forum mais j aime toujours autant te lire!!
c est encore tellement vrai ce que tu dit!!
mais l'autre du crois qu'il faut l'entérer ou l'accepter??
c est une question que je me pose en ce moment, de plus pour ma part je me rend compte que l autre c est tout simplement l'enfant que j ai pu être et que je suis et qui m empêche de passer au stade adulte !!
j aimerai avoir votre avis dont le tiens sur ma question posée
La rechute, Révélation, indique que tu manques de confiance face au stress. L'émotion ne disparait pas pour autant quand on compulse. Le problème c'est qu'on la déforme en culpabilité. Je pense que l'émotion peut -être acceptée, à condition de bien faire en sorte de se limiter à la voir, à la laisser passer, comme une information sur toi. En début de sevrage, le problème des dépendants, c'est qu'ils restent seuls avec ça, et qu'ils reprennent le même chemin qu'ils ont emprunté pendant des années parce qu'ils ne savent pas quoi faire et qu'ils paniquent face à un coup de stress, une pulsion, une émotion etc... En tout cas, c'est comme cela que je fonctionne. Mais quand j'accepte de reconnaitre que tout seul je suis en danger, quand je contacte un autre dépendant pour en parler, quand je vais dans une réunion de fraternité en 12 étapes, l'humilité dont je fais preuve m'aide à vivre ce moment sans compulser. l'étudiant : je ne suis pas sur qu'il faille enterrer cet enfant. Il fait partie de ton expérience, et te sert comme indication de ce que tu as été. Il y a une "promesse" chez les AA qui dit "Nous ne regretterons pas plus notre passé que nous ne voudrons l'oublier". J'essaye de ne pas juger ce que j'ai été pour pouvoir l'accepter. Mon noir passé me sert comme une expérience. Il m'a appris des choses sur moi, et je peux désormais le partager aux autres.Bon courage !
oui Bruno je comprend ce que tu dis et je pense un peu comme toi!!!