Dépendance sexuelle

Version complète : Nico32, en quête de motivation
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Bonjour à tousAprès avoir découvert le site d'Orozz qui m'a fait comprendre beaucoup de choses et décidé à me sevrer, je vous expose mon cas.J'ai 32 ans et suis célibataire depuis un petit moment, avec quelques histoires d'un soir ou de quelques jours qui ont parsemé ces dernières années.Parcours assez classique : j'ai commencé la masturbation vers 14 ans, d'abord sans supports, puis avec les fantasmes, les magazines, les films érotiques, pornos et enfin internet depuis quelques années. A raison de 2 ou 3 séances par semaines, je me suis rendu compte peu à peu que cette sexualité alternative, bien que frustrante, me convenait quelquepart. En effet je n'avais jamais trouvé de désavantages à ces pratiques, vu que l'érotisme ou le porno soft me suffisaient (je ne suis jamais allé jusqu'à tomber dans le sordide, l'érotisme m'a toujours beaucoup plus excité qu'un coït en gros plan).Mes relations sexuelles de ces dernières années on cependant été plutôt cahotiques : problèmes de pannes à répétitions et difficulté à éprouver du plaisir. J'attibuais ça un peu facilement à mon relatif manque d'expérience (jamais de relation très longues), à mon état lors de l'acte (souvent très tard avec des restes d'alcool), ou à ma partenaire elle-même qui ne m'excitait pas suffisament ou que je ne connaissais pas asser pour bien profiter.Cet été j'ai rencontré une très belle femme et nous avons eu quelques rapports sexuels. Et là, rebelotte, une erection très moyenne (quand il y en avait une), et pratiquement pas de plaisir, en tout cas rien à voir avec le plaisir que j'éprouvais lors de mes séances de masturbation.Et j'ai fini par voir la réalité en face ! A force de m'être habitué au plaisir solitaire stimulé par du virtuel, le réel ne suffit plus à m'exciter suffisament pour avoir une érection normale ou éprouver du plaisir. Pire, l'envie de faire l'amour en vrai était finalemment trop basse. Un comble, moi qui ai toujours été conscient que la masturbation et le support visuel n'étaient qu'un palliatif, une alternative beaucoup moins intéressante que le sexe en vrai. Et pourtant, à chaque tentative réelle, c'est limite si je ne me forçais pas. Quand j'ai compris ça j'ai vraiment réalisé que j'avais un problème, et qu'il fallait que je me débarasse de cette pratique afin de me réhabituer à être excité par le réel. Mais est-ce possible ? J'ai énormément flippé je vous l'avoue.Car quand on a prit l'habitude d'avoir à portée de la main tous les fantasmes que l'on souhaite (et ceux qu'on découvre), bien tranquille de chez soi, sans comptes à rendre ni rien à donner en retour, avec la possibilité de changer d'image toute les 10 secondes, tout ça avec l'excitation très puissante provoquée par le fait qu'il y a 10 millions de nouvelles images encore plus excitantes qui suivent si on le désire... comment pouvoir encore être excité par une vrai femme, même sublime ? Après quelques recherches je suis donc tombé sur le site d'Orozz et je me suis reconnu dans beaucoup de témoignages. Et j'ai donc décidé d'arrêter tout ça. J'en suis donc aujourd'hui à 32 jours d'abstinence totale. Pas un seul visionnage, pas un seul fantasme, dès qu'une image surgit de mes souvenirs (malheureusement imprimés dans ma mémoire), je la chasse ausitôt. Je me suis juste masturbé 2 fois au cours de ces 4 semaines, mais en utilisant la technique décrite par Orozz, à savoir de façon très lente, douce, et surtout en ne pensant à RIEN. En fait plus une purge qu'autre chose, puisque presque pas de plaisir au final. Je vais d'ailleurs éviter de le refaire autant que possible à l'avenir, car il ne faudrait pas que ça devienne une nouvelle pratique compulsive.Donc voilà ou j'en suis, 32 jours d'abstinence, la première fois que ça m'arrive depuis que j'ai commencé à me masturber il y a 18 ans !Mes impressions sont les suivantes :Je suis tout d'abord surprit de la relative facilité avec laquelle je suis arrivé jusqu'ici à ne pas replonger vu le nombre d'années de pratique régulières. Il y a parfois des moments assez durs mais quand l'envie est trop forte je m'efforce de penser à autre chose ou pratique une activité qui me détache de tout ça (musique, sport, etc...). Grande difficulté quand même : il est tellement facile de tomber sur une image érotique (une vidéo sur Youtube à côté de celle qu'on recherche et qui n'a rien à voir, un clip musical avec des filles sexy... misère) que l'envie de masturbation compulsive peut resurgir très facilement. D'autant qu'avec la perte d'habitude de visionner ces images, leur effet est désormais beaucoup plus fort sur l'excitation (un truc de fou, j'étais loin d'imaginer ça)... Et alors l'horreur : on se remémore le plaisir qu'on avait, on se dit merde, je vais devoir rennoncer à ça pour le restant de mes jours, c'était pas si terrible, y a finalemment rien de mal, etc... bref les pièges classiques qui, je suppose, ne vous sont malheureusement pas inconnus. C'est là qu'il faut vraiment réfléchir, se dire qu'on a une mémoire faussée et subjective qui ne nous rappelle que les "bon souvenirs" (alors que si on y pense, pour ma part à peine une masturbation sur 10 m'apportait vraiment un grand plaisir, les autres étaient plus une habitude ou une pulsion à combler). Il faut aussi se dire que si on craque tout notre sevrage sera foutu en l'air, tout ça pour 3 mn de "satisfaction", et qu'une fois l'orgasme atteint on se dira "ah ouais... c'était mieux dans mes souvenirs en fait... merde, tout ça pour ça !" Mais je reste un homme, j'ai vraiment très peur de rechuter. Hier matin j'ai fait un rêve non pas érotique mais néanmoins assez sensuel (une situation tout à fait réelle en fait), et toute la journée j'étais assez excité, je n'arrêtais pas de gamberger sur tout ça (toujours sans penser à la moindre image evidemment). Ca m'a tellement travaillé de penser à tout ça, de comparer mes motivations et mes regrets, de chercher à comprendre, etc... que j'ai bien faillit cliquer où il ne fallait pas. Mais j'ai tenu bon. Tout de même, au début de mon sevrage ce n'était pas aussi puissant. Et là depuis ma quatrième semaine j'ai l'impression que ça devient hard. Je suppose cependant que tout ça est normal et espère que ce ne sera pas constamment comme ça...En plus de tout ça, étant célibataire je me rends compte que c'est pas facile tous les jours de n'avoir plus aucun plaisir sexuel. Et c'est tellement facile de se laisser aller à penser à son fantasme préféré... et tellement dur d'y renoncer parfois. Voilà pourquoi je suis ici aujourd'hui, je sens ma motivation qui flanche un peu, or c'est la base du sevrage. Je suis en train de parcourir le site afin d'essayer de me rebooster, ça me redonne un peu de punch ! Bon je vois je suis en train de pondre un pavé indigeste donc je m'arrête là... Bon courage à tous et tenez bon ! Nico
salut nico.debut du mois de decembre, en plein automne...pourvu que les addictions tombent comme les feuilles des arbres!a bientot.
Bonjour Nico32 et bienvenue!Plus je lis sur ce site internet, plus je vois combien nous avons tous des expériences semblables.Je viens sur ce site à tous les jours pour ne pas oublier où j'en suis et pourquoi j'ai décidé de commencer ce sevrage. Je crois que c'est un bon moyen de ne pas se laisser aller à la dérive, comme ça on s'assure que notre bateau arrivera à bon port!Rendu à 4 semaines, je crois qu'un changement plus grand est en train de s'opérer en toi. Je me rappelles d'une rechute après 3 semaines ou je n'ai pas résisté, c'était trop fort. Cependant, je suis certain que surmonter ce désir intense est une des clefs du sevrage. C'est un point culminant, un sommet, qui nous rendra plus fort vis-à-vis ce désir jamais satisfait, ce cercle vicieux.Je pense souvent au film «Transporting» (si je ne me trompe pas) où le gars fait un sevrage (dépendance toxicomane) et qu'il voit un bébé déambuler au plafond dans son délire euphorique. Il est dans sa chambre, et si je me rapelles bien, ses parents l'on pris en charge et il est confiné à demeurer dans sa chambre pendant X temps. Une dépendance, c'est fort, ceux qui essayent d'arreter de fumer en savent quelque chose aussi.Moi, ce sont les moments qui étaient comblés par cette dépendance qui me consterne. Je suis là et je me demande, bon qu'est-ce que je fais? J'étais tellement habitué à combler ce vide par la pornographie, que là, je ne sais plus trop quoi faire de ce temps. En fait, je sais ce que je peux faire de ce temps. Cependant, je suis encore dans la maîtrise par rapport à mon désir de retourner voir l'explicite. Je crois que la «switch» OFF sera plus puissante avec le temps et que je passerai à autre chose plus facilement. Disons que j'ai des projets plus intéressant à réaliser que de la branlette virtuelle et tuer du temps!!!Bonne continuation! Au plaisir de te lire!Bebast
Merci pour l'accueil Mondom et Meteor  
Citation : Rendu à 4 semaines, je crois qu'un changement plus grand est en train de s'opérer en toi. Je me rappelles d'une rechute après 3 semaines ou je n'ai pas résisté, c'était trop fort. Cependant, je suis certain que surmonter ce désir intense est une des clefs du sevrage. C'est un point culminant, un sommet, qui nous rendra plus fort vis-à-vis ce désir jamais satisfait, ce cercle vicieux. 
C'est vrai que je suis encouragé par ces 4 semaines d'abstinence, plus on augmente cette durée et plus ça nous dissuade de replonger pour ne pas perdre cet acquis !Cependant je suis loin de faire le malin vu que la tentation est toujours là et bien là !Preuve en est qu'aujourd'hui j'ai été plutôt inactif avec un moral couci-couça... et  j'ai faillit m'y remettre, pfffQuand on est dans une phase fragile où on manque de plaisirs, il est très tentant de repenser à tout ça et de se dire qu'on s'accorderait bien un écart... Je pense que tant qu'on voit le sevrage du porno comme un plaisir qu'on s'interdit c'est très mauvais. Ce qu'il faut c'est au contraire le voir comme un danger qu'on doit fuir !D'où l'importance de la motivation et de bien garder à l'esprit les conséquences très néfastes de cette pratique. Et avec le temps on peut parfois avoir tendance à zapper... Comme je l'ai indiqué dans le titre du topic ce qui me posait problème ces derniers jours c'est la baisse de motivation. En clair l'envie de replonger n'était pas vraiment plus forte, en revanche l'envie de ne pas replonger commençait à faire défaut !

Résultat à deux doigts de craquer je suis sortit marcher une bonne heure en essayant de me vider la tête, j'ai vu la vrai vie, les vrai femmes, les vrai couples, et l'envie de me sortir de cette sexualité virtuelle à la con est redevenue progressivement plus solide. Et ce soir ça va, et aucune envie de repenser à tout ça ! Je l'ai échappé belle mais je doit vraiment rester vigilant.  

Citation :Je pense souvent au film «Transporting» (si je ne me trompe pas) où le gars fait un sevrage (dépendance toxicomane) et qu'il voit un bébé déambuler au plafond dans son délire euphorique. Il est dans sa chambre, et si je me rapelles bien, ses parents l'on pris en charge et il est confiné à demeurer dans sa chambre pendant X temps. Une dépendance, c'est fort, ceux qui essayent d'arreter de fumer en savent quelque chose aussi.
Un de mes films cultes d'ailleurs, on voit bien les ravages de l'addiction dans cette scène !../../../p><p> </div>
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Allo Nico32,Citation :Preuve en est qu'aujourd'hui j'ai été plutôt inactif avec un moral couci-couça... et  j'ai faillit m'y remettre, pfffQuand on est dans une phase fragile où on manque de plaisirs, il est très tentant de repenser à tout ça et de se dire qu'on s'accorderait bien un écart... <b../../../font>Je ressens cela à tous les jours dans mon début de sevrage présentement. Je suis devant mon ordi ou je suis tellement habitué et conditionné à aller sur les sites X que je ne sais plus quoi faire de ma journée et de mes temps libres.En fait, il y a plein de choses que je veux faire et que j'ai à faire, il s'agit de se prendre en main, j'ai enfin ce temps que je disais ne pas avoir.En effet, la vigilance est de mise. Je pense que nous devons changer nos préoccupations malsaines en occupations constructives et créatives.Cette fois, je ne me suis pas promis de cesser cette dépendance pour obtenir une vie sexuelle dans la vraie vie. Dans ma tête à moi, je suis prêt à m'en passer s'il le faut comme le Dalaï Lama. Pourquoi? Parce que si je n'ai pas de vie sexuelle dans la vraie vie prochainement, cela va me redonner encore la même excuse pour retourner consommer de la pornographie. Je pense que tant qu'on voit le sevrage du porno comme un plaisir qu'on s'interdit c'est très mauvais. Ce qu'il faut c'est au contraire le voir comme un danger qu'on doit fuir !D'où l'importance de la motivation et de bien garder à l'esprit les conséquences très néfastes de cette pratique. Et avec le temps on peut parfois avoir tendance à zapper... <b../../../font>Il y a des gens qui pourront toujours regarder de la pornographie sans développer de problèmes, de la dépendance et de la compulsion. Nous, on a de la difficulté, cela nous rends obsessionnel et l'ascension et la reprise de l'abus se fait rapidement. La modération à bien meilleur goût, mais l'abstinence est mieux pour certains. Moi, je peux consommer de l'alcool sans problèmes, jouer à la loterie, je le gère très bien, mais la pornographie cela m'est beaucoup plus facile de retomber dans le cercle vicieux et le déni. Chacun sa dépendance, lol, mais moi  je veux ZÉRO dépendance LOL ; Da+
Désolé, tout est en bleu, je vais devoir apprendre le truc des citations, lol!! [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img]Toujours mieux de voir la vie en bleu que noir en broyant du noir! Moi, je regarde vers les cieux ce qui s'en vient de bon pour moi dans ma vie! lola+
Je dirais juste un truc : tiens bon.
La suite du sevrage, si elle est vécue
sincèrement, est un truc de fou dont
on n'a même pas idée. C'mon mate!
Bonjour Nico32, Ce que je peux te dire Nico32, c'est que tu es un extraterrestre! Smile je dis ça car il semble que ce soit ton premier sevrage. Et franchement, je ne sais pas si quelqu'un sur ce site a déjà vu un premier sevrage durer plus de 32 jours sans rechutes!C'est génial pour toi d'arriver à ce résultat dès la première fois, tu dois avoir une volonté énorme et je voulais te féliciter pour ça.

Je ne peux que t'encourager à persévérer dans cette voie.

Salut et bon courage.

Bonjour Nico. Je m'identifie à plusieurs de tes propos. Notamment quand tu évoques la sexualité "réelle" devenue compliquée sous les effets du virtuel. Moi, je suis devenu éjaculateur précoce et ce n'est pas toujours simple d'avoir des relations sans être soumis à la pression de mes fantasmes égocentriques.Tu as raison de rappeler que le porno n'est pas un plaisir qu'on s'interdit. D'où l'importance d'occuper l'esprit d'autres plaisir, constructifs, assurant le bien-être, pour soi et les autres.Merci beaucoup de ton témoignage en tout cas. Bon courage ! 
Citation :
Meteor a écrit: Cette fois, je ne me suis pas promis de cesser cette dépendance pour obtenir une vie sexuelle dans la vraie vie. Dans ma tête à moi, je suis prêt à m'en passer s'il le faut comme le Dalaï Lama. Pourquoi? Parce que si je n'ai pas de vie sexuelle dans la vraie vie prochainement, cela va me redonner encore la même excuse pour retourner consommer de la pornographie.
 Je vois très bien ce que tu veux dire, d'ailleurs je pense pas me tromper en disant que ne pas avoir de vie sexuelle ou tout du moins de vie sexuelle potentielle (pour ceux qui sont tout de même en couple)  ça rajoute une difficulté... car on a aussi des besoins naturels tout à fait normaux autre que ce besoin de porno qu'on s'est nous même crééMais raison de plus pour se reconditionner et ainsi être désireux de vrai relation sexuelle, avec le partage et tout.  C'est une sacré motivation pour moi en tout cas, quand je me remémore mes expériences récentes où j'ai été incapable d'assurer alors que je désirais tant partager... rien que d'y repenser ça me redonne un coup de boost tiens ! Citation :
Meteor a écrit:Il y a des gens qui pourront toujours regarder de la pornographie sans développer de problèmes, de la dépendance et de la compulsion. Nous, on a de la difficulté, cela nous rends obsessionnel et l'ascension et la reprise de l'abus se fait rapidement. La modération à bien meilleur goût, mais l'abstinence est mieux pour certains. Moi, je peux consommer de l'alcool sans problèmes, jouer à la loterie, je le gère très bien, mais la pornographie cela m'est beaucoup plus facile de retomber dans le cercle vicieux et le déni. Chacun sa dépendance, lol, mais moi  je veux ZÉRO dépendance LOL 
C'est clair que la modération serait l'idéal... encore que, j'arrive pas à m'imaginer me modérer avec le porno. Et d'ailleurs ça voudrait dire quoi ? Alterner relation réelle et branlette avec support ? Je pense que j'en serais incapable vu l'habitude que j'ai désormais prit, et que ça parasiterait à coup sûr ma relation irl, voire me ferait retomber dans la dépendance.Je sais pas où tu en es de ton sevrage mais courage en tout cas !!  Citation :
cp-83 a écrit: Bonjour Nico32, Ce que je peux te dire Nico32, c'est que tu es un extraterrestre! Smile
Ouais, c'est ce que je me dis tous les matins [img=../../../uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif" border="0]../../../p>

 

Citation :

Citation :je dis ça car il semble que ce soit ton premier sevrage. Et franchement, je ne sais pas si quelqu'un sur ce site a déjà vu un premier sevrage durer plus de 32 jours sans rechutes!

C'est génial pour toi d'arriver à ce résultat dès la première fois, tu dois avoir une volonté énorme et je voulais te féliciter pour ça.Je ne peux que t'encourager à persévérer dans cette voie.Salut et bon courage.

C'est très sympa, merci ! Pour être honnête j'avis déjà essayé d'arêter une ou deux fois au cours de ces deux dernières années, mais sans avoir aucune idée du processus de dépendance dans lequel j'étais tombé. En fait j'avais juste envie d'arrêter, comme ça pour voir. Evidemment je n'ai pas tenu une semaine ! Il a fallu plusieurs aventures malheureuses et la consultation du site d'Orroz pour me décider à arrêter sérieusement et définitivement aujourd'hui.C'est vrai que je suis moi même un peu surprit d'arriver à 33 jourssans rechutes, mais je sais très bien que la rechute est à un click de souris, et que pas plus tard que cet aprem la vue d'une pub "innocente" pour de la lingerie m'a donné un coup de chaud que j'aurais très bien pu transformer sur le coup... bon, quelques minutes et c'est bon, ça part. N'empêche, vigilance encore et toujours.Peut être aussi que je suis un peu moins "intoxiqué" que la moyenne, je ne sais pas. Mais je ne pense pas car même si je ne consultais du sexe virtuel que 2 ou 3 fois par semaine, le fait que je le fasse depuis tant d'années (au moins 16) a du ancrer en moi quelquechose de très tenace, et il m'arrive encore de douter de pouvoir un jour m'en débarasser totalement... En tout cas merci pou rles encouragements et je te les renvoie bien évidemment !  Citation :
Bruno59 a écrit: Bonjour Nico.Je m'identifie à plusieurs de tes propos. Notamment quand tu évoques la sexualité "réelle" devenue compliquée sous les effets du virtuel. Moi, je suis devenu éjaculateur précoce et ce n'est pas toujours simple d'avoir des relations sans être soumis à la pression de mes fantasmes égocentriques.Tu as raison de rappeler que le porno n'est pas un plaisir qu'on s'interdit. D'où l'importance d'occuper l'esprit d'autres plaisir, constructifs, assurant le bien-être, pour soi et les autres.Merci beaucoup de ton témoignage en tout cas.Bon courage ! 
 Salut !Oui je pense qu'il ne faut pas raisonner en terme de "plaisir" même interdit, car en voyant les choses comme ça on sera beaucoup plus tenté de s'y remettre. Le top serait de vraiment ressentir un dégoût de tout ça, ce serait si pratique !y a pas de Champix pour le porno des fois ?  ../../../../p><p>En tout cas bon courage à toi aussi ! <b../../../../p><p> </p></td></tr></table><script language=[/img] Bon courage à toi aussi, on y arrivera ! </div>
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URLs de référence
  • Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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